The Long Night Takes envisage la nuit comme espace. Un espace produit et influencé par la charge psychique portée par des siècles d’expérience humaine. La nuit se fait l’hôte de désirs révolutionnaires, de pulsions libidinales, d’actions criminelles, de fantasmes d’évasion, d’aventures risquées, de rendez-vous secrets et de chuchotements.
The Long Night Takes envisage la nuit comme temps. Un temps d’effervescence, de récupération. Un temps de relâchement et de contemplation. La nuit est un temps au ralenti, même lorsqu’elle est vite passée.