Freya OlafsonMotion Aftereffect (MÆ)
Photo : Robbie Sweeny
MÆ - Motion Aftereffect vise à révéler comment la technologie de la réalité virtuelle peut déstabiliser les significations du corps corporel. Le projet utilise du contenu provenant d'Internet : des bibliothèques de capture de mouvement open source, des modèles humains 3D prêts à l'emploi et des monologues d'individus racontant leurs expériences avec la RV dans des jeux en direct, des mondes exploratoires et du porno RV. Le projet MÆ est une nouvelle œuvre en cours de développement qui vise à catalyser les conversations sur la culture contemporaine et la performance tout en imaginant l'avenir des sociétés grâce aux progrès des technologies de RV.
Contributions à la recherche de : Thomas Wester à Portland, Kathy Casey, Larry Lavender, Rachel Harris et Ellen Furey à Montréal, et Yagiz Mungan à San Francisco.
Freya reconnaît le soutien généreux du Conseil des arts du Manitoba, le pilote de résidence de recherche d'artiste AR/VR organisé par Oregon Story Board, Eyebeam et Upfor Gallery à Portland, ainsi que le 13e atelier chorégraphique annuel de Montréal. En 2017, cette œuvre a été développée dans le cadre du " Artist Residency Commissioning Program " de CounterPulse (San Francisco) avec le soutien du National Endowment for the Arts, de la Zellerbach Family Foundation et du Ken Hempel Fund for the Arts.
Photo : Robbie Sweeny
Freya Björg Olafson est une artiste intermédia qui s’intéresse à l’identité et au corps, en s’appuyant sur la technologie et l’Internet. Olafson a présenté ses travaux à l’échelle internationale dans des musées, des galeries, des universités, des festivals de performance et des conférences. Elle est titulaire d’un MFA en nouveaux médias de l’Institut Transart / Donau Universität et enseigne actuellement la scénographie à l’Université York (Toronto).