Salima Punjani Cafés mortels sonores
© Salima Punjani. Photo : Tristan Brand
Veuillez noter que les participant·e·s doivent être testé·e·s négatif·ve·s pour le Covid-19 avant l'atelier.
Les ateliers sont présentement complets mais vous pouvez remplir le formulaire pour être sur la liste d'attente.
Dans le cadre de sa résidence Explorations sonores du deuil collectif à OBORO avec son collaborateur, Pipo Pierre-Louis, l’artiste Salima Punjani vous propose d’explorer l’expérience du deuil par le biais du son et des vibrations, dans un rituel de soin collectif. Au cours du café mortel sonore, les participant·e·s seront appelé·e·s à considérer les choses plus difficiles de la vie, puis à trouver des sons qui permettent de symboliser ces émotions. Grâce à des coussins vibrotactiles – une technologie permettant de transformer les sons en vibrations –, nous prendrons le temps d’écouter collectivement les histoires de chacun·e. Ainsi, nous tenterons de permettre à notre vécu d’exister par-delà la parole : nous le ressentirons plutôt, à travers nos sens et nos corps.
Les cafés ne sont pas spécifiquement axés sur la mort, mais créent un espace pour les expériences humaines difficiles telles que l'éco-anxiété, les ruptures amicales et intimes, le vieillissement, les changements dans les capacités physiques et mentales et bien d'autres choses encore. Gâteaux et thé seront offerts. L'atelier sera bilingue. Réservez du temps à la fin des deux heures de l'atelier.
*Veuillez noter qu'il ne s'agit pas d'un groupe de thérapie, mais d'une expérience artistique de connexion.
© Salima Punjani. Photo : Tristan Brand
Née à Vancouver en 1986, Salima Punjani est une artiste multisensorielle qui utilise des médiums tels que la sculpture souple, le vibrotactile, le son spatial, la vidéo et la photographie numériques et l’esthétique relationnelle pour construire des espaces de connexion. Son approche artistique est étroitement liée à son intérêt pour les soins tenant compte des traumatismes et la justice pour les personnes en situation de handicap. Elle est titulaire d’un baccalauréat en communications et en sciences politiques de l’Université Carleton, d’un diplôme d’études supérieures en journalisme de l’Université Concordia et d’une maîtrise en travail social de l’Université McGill. Ses recherches portent sur l’intersection des arts et du travail de soin.
L’inscription des utilisateur·trice·s de QSL à l’atelier du 22 février doit être faite avant le 17 février.
Transcription ici.