Nelly MironchuckLe jardin de ma mère

Date(s) : 15 au 31 oct 2025

Résidence

Ombre d’une personne sur une pelouse ensoleillée. La silhouette, projetée sur l’herbe, montre la tête et le haut du corps, avec un bras levé tenant probablement un téléphone ou un appareil photo. Le sol est couvert de gazon vert parsemé de petites fleurs violettes et blanches, avec des zones d’ombre provenant d’arbres environnants. Shadow of a person on a sunlit lawn. The silhouette shows the head and upper body, with one arm raised, likely holding a phone or camera. The ground is covered in green grass with small purple and white flowers, dappled with shade from surrounding trees.

© Nelly Mironchuck, 2025

En partenariat avec l'École des arts visuels et médiatiques de l'UQAM

Dans le cadre d’une nouvelle bourse de création en nouveaux médias soulignant la qualité d’un projet envisagé en début de carrière artistique d’un·e finissant·e du baccalauréat en arts visuels et médiatiques de l’UQAM, OBORO accueille Nelly Mironchuck en résidence de production. L’artiste développera l’œuvre Le jardin de ma mère, qui donne suite à son récent projet photographique et vidéographique La rosée (2024).  

Par un travail de récolte et de documentation attentive d’un jardin, cette nouvelle production entend mettre à profit les processus d’échange de transformation qui se déploient à travers ce cycle naturel domestiqué. Plus largement, le projet interroge des enjeux écosystémiques. Les plantes, les insectes, l’environnement et l’humain interagissent, s’influencent et se nourrissent. Que se passe-t-il à travers cette interconnexion? Nelly Mironchuck envisage le jardin comme un terrain biodiversifié qui favorise la contemplation esthétique, la construction de relations, le recueillement et le soin. L’artiste y agit comme une observatrice et une actrice ; elle planifie, ensemence, plante, désherbe et récolte cette parcelle de terre située chez sa mère à Saint-Lin-Laurentides. Au cours de sa résidence à OBORO, elle développera la post-production de cette documentation visuelle et sonore, qui prendra ensuite la forme d’une installation immersive multidisciplinaire. 

Ombre d’une personne sur une pelouse ensoleillée. La silhouette, projetée sur l’herbe, montre la tête et le haut du corps, avec un bras levé tenant probablement un téléphone ou un appareil photo. Le sol est couvert de gazon vert parsemé de petites fleurs violettes et blanches, avec des zones d’ombre provenant d’arbres environnants. Shadow of a person on a sunlit lawn. The silhouette shows the head and upper body, with one arm raised, likely holding a phone or camera. The ground is covered in green grass with small purple and white flowers, dappled with shade from surrounding trees.

© Nelly Mironchuck, 2025

Nelly Mironchuck est une artiste émergente dont la pratique interdisciplinaire intègre le dessin, la performance, l’installation vidéo, l’art médiatique, mais aussi le travail collaboratif avec des personnes issues de différentes sphères artistiques, scientifiques et sociales. À travers ses œuvres, elle témoigne et révèle des réalités autrement invisibles et marginales. Suivant une approche écoféministe et écologique, elle explore et documente la complexité des relations qui la lie au monde vivant et non-vivant. Mironchuck détient un baccalauréat en arts visuels et médiatiques de l’UQAM. Elle travaille également en tant que médiatrice au Musée d’art contemporain des Laurentides (MACLAU). Son travail a été présenté dans plusieurs expositions collectives, dont PARCOMÈTRES VIII et VIX (2024-2025) et à l’exposition Passage à découvert à la Galerie de l’UQAM (2025). 

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